darin:

• Hoff­mann, Yas­min:

  Heureux celui qui oublie ce qui n’a jamais existé.

  S. 307-312.

• Je­li­nek, El­frie­de:

  Lire.

  (= Lesen kann vernichten , Ü:

  Oli­vi­er Le Lay

  )

  S. 313-314.

• Zey­rin­ger, Klaus:

  Théâtre en pièces, nature en p(r)ose, et l’Autriche en ligne de mire.

  S. 315-328.

• Leg­em­ble, Be­noît:

  D’une prison l’autre. Crime, famille et société dans l’œuvre d’Elfriede Jelinek.

  S. 329-344.

• Run­te, An­net­te:

  Une écriture post-féministe? La prose satirique d’Elfriede Jelinek.

  S. 345-358.

• Ré­tif, Fran­çoi­se:

  Histoire de l’œil. Voyeurisme, art et sacrifice chez Elfriede Jelinek.

  S. 359-368.

• Hor­nig, Die­ter:

  Le théâtre d’Elfriede Jelinek. Les contours d’une esthétique.

  S. 369-388.

• Jan­ke, Pia:

  Un théâtre de „textes“.

  S. 389-401.

• Bon­bo­i­sin, Bé­ran­gè­re:

  „Ce qui est terriblement humain, c’est bien ce chaos...“ Entretien avec Bérangère Bonvoisin.

  S. 402-405.

• Schoofs, Chris­ta:

  Plutôt le sommet de l’art que les bas-fonds du sexe. Michael Haneke adapte „La Pianiste“ d’Elfriede Jelinek.

  S. 406-424.

• Ba­noun, Ber­nard:

  Euterpe en pure perte. De la musique chez Elfriede Jelinek.

  S. 425-437.

• Brandt, Bet­ti­na:

  Politiques et tropes de la traduction. Elfriede Jelinek dans une autre vie.

  S. 438-448.

• Oli­vei­ra, Clai­re de

  L’illusion de la facilité. Sur la traduction d’„Avidité“.

  S. 449-450.